Virginie (bébé âgé de 4 mois, France)

Virginie

Introduction

Nous avons tous les deux 40 ans (j’avais 39 ans au moment des faits). Je suis professeur des écoles et Lionel travaille comme contrôleur de tri. Nous vivons à Mulhouse et sommes parents de Danaé, née en 2019, et de Timothé, né en 2024.

La grossesse et l’accouchement

Timothé est né par césarienne. Le cordon ombilical a été coupé lors de l’ouverture : il a subi une hypoxie sévère et des signes d’atteinte neurologique étaient visibles dès sa naissance et dans les semaines qui ont suivi, notamment au niveau des mains et des doigts. J’avais un diabète gestationnel et le bébé était estimé trop gros ; j’avais déjà eu une césarienne auparavant. Cependant, Timothé était normal : il mesurait 48 cm et pesait 3,1 kg.

Timothé ne dormait jamais vraiment, semblait toujours avoir faim, grandissait et grossissait anormalement vite, et ne supportait aucune musique. J’ai allaité pendant environ deux semaines seulement car je n’avais pas assez de lait ; il avait du mal à trouver le sommeil en journée et se réveillait toujours en criant. Il était curieux et joueur mais un peu “mou”. À 10 semaines, il a commencé à faire ses nuits. Il était en notre garde exclusive.

Le jour où tout a basculé

Timothé était très nerveux ; les siestes étaient difficiles et irrégulières, bien que les nuits se passent sans problème. À 3 mois et demi (juillet 2024), il s’est réveillé en hurlant, semblait terrifié ; il était froid et mouillé. Il a soudainement raidi et courbé son corps comme “possédé”, perdu connaissance quelques secondes puis s’est endormi. À son réveil, tout allait bien : il a mangé et s’est comporté normalement.

Le lendemain, Timothé vomissait tout son lait, même en petites quantités. J’ai appelé le Samu qui m’a orienté vers l’hôpital. Je suis arrivée à midi et après plusieurs heures d’observation, les médecins ont conclu à une gastro-entérite.

En août 2024, Timothé s’est réveillé au début de sa sieste d’après-midi en hurlant à nouveau ; il ne se calmait pas dans mes bras, semblait perdu et se figeait en me regardant fixement puis s’évanouissait. Il était tout mouillé et froid. J’ai appelé mon mari qui était alors en sieste ; il a crié de terreur car Timothé restait inconscient. Mon mari a appelé les pompiers qui sont intervenus en trois minutes et nous ont transportés aux urgences (Timo pleurait dès qu’il était conscient, son regard était fuyant puis il se rendormait).

Aux urgences, les médecins donnent du doliprane à Timothé et me laissent seule avec lui. Ils ne savent pas trop ce qu’il a.

Après plusieurs heures d’attente, ils constatent une élévation de la pression intracrânienne et demandent un scanner. Deux saignements sont repérés : l’un ancien, l’autre récent, me dit le médecin oralement. Plus tard, on m’apprendra que ces saignements seraient le signe d’une maltraitance continue. Ils demandent ensuite une IRM qui confirme les saignements, mais cette fois non datables.

Entre le scanner et l’IRM, ils effectuent une échographie abdominale pour écarter toute invagination possible.

Toujours seule avec Timothé, la porte de notre chambre reste ouverte. Des têtes passent régulièrement pour m’observer et me regarder d’un œil suspicieux. On me parle du syndrome du bébé secoué (SBS). Je fais des recherches sur mon téléphone, complètement perdue… J’essaie de savoir si j’avais pu avoir un geste trop brusque car je n’ai jamais secoué mon bébé ; tout est écarté d’un revers de main car il faut être violent pour provoquer des saignements. Ils ne cherchent aucune autre explication, juste un responsable.

Timo est ensuite transféré à Strasbourg en réanimation pédiatrique (service où il restera deux jours seulement car le transfert était inutile). Nous sommes accueillis sans être jugés, mais les médecins cherchent encore un responsable. Convaincus de la maltraitance, ils me disent que le signalement sera fait (je ne comprends pas alors ce que cela signifie) ; je passe la nuit seule dans la chambre avec mon fils malgré tout ! Il y est transfusé inutilement et contre notre volonté.

On nous explique que s’il survit, il aura des séquelles irréversibles…

Le lendemain midi, je quitte mon fils car j’ai été appelée pour être auditionnée (je serai finalement placée en garde à vue ainsi que mon mari) ; je ne reverrai plus mon fils pendant presque trois semaines !

Il est ensuite accueilli dans le service des nourrissons où nous serons traités comme des meurtriers lorsque nous y apporterons un vaccin. Nous sommes violemment repoussés vers l’extérieur par des soignants hystériques et empêchés de le regarder à travers une vitre !

La juge des enfants confirme l’ordonnance de placement provisoire, se basant sur un signalement médical plus qu’hypothétique et les propos d’une enfant de cinq ans obtenus en posant des demi-questions et en déformant des propos hors contexte et non vérifiés. On brossera un portrait totalement faux et diffamatoire sans preuve, mais présenté comme une vérité incontestable (bien que les preuves auraient été faciles à obtenir). Nous sommes coupables, point ; le regard de la juge est sans appel et son avis déjà fait avant même de nous entendre (aucun respect de la présomption d’innocence).

Une autre juge prendra sa place au milieu de la procédure ; les choses évolueront vite et positivement ensuite, heureusement.

L’inspectrice de l’aide sociale à l’enfance se contentera de s’asseoir, de dire que notre foyer est inquiétant et qu’il est nécessaire de nous retirer notre fils (sans preuve ni enquête d’aucune sorte).

La brigade des mineurs s’est montrée incompétente, condescendante et uniquement dans la recherche de preuves de notre culpabilité, et non pour faire la lumière sur cette affaire ; une honte indescriptible !! Ils nous ont fabriqués coupables.

La police a cherché à obtenir de mon mari qu’il me dénonce, lui disant qu’ils avaient la preuve de ma culpabilité (hors caméra bien sûr, avec la complicité de son avocate commise d’office) ; pour ma part, l’inspecteur qui m’a interrogée fut respectueux et professionnel.

Sans parler de l’association Thémis, administrateur ad hoc de Timothé qui n’a toujours cherché qu’à nous maintenir séparés de notre fils, relayant des mensonges sans vérifier quoi que ce soit et se montrant agressifs et accusateurs. Une honte !

Les médecins légistes ayant vu notre fille ont été respectueux et rassurés en la voyant.

Bien qu’ayant été avant cette histoire de fervents défenseurs de la police, de la justice et de la médecine, nous ne ressentons à présent plus que du dégoût et de la défiance envers ces personnes.

Nous étions terrifiés par ce que vivait notre fils, “au fond du trou” et désespérés d’en être séparés (j’ai même eu envie de me faire mal pour faire cesser ma propre souffrance).

En colère également car notre fille est sortie de cet interrogatoire et de la séparation avec son frère (elle le reverra au bout de six semaines), traumatisée et en crise d’angoisse fréquente (elle verra un psychologue pendant un an).

Nos proches étaient dévastés mais d’un soutien sans faille heureusement !

Par la suite, tous les professionnels qui nous ont fréquentés (SIE, ASE, TISF, éducatrice à l’hôpital, famille d’accueil…) et ma maman (tiers de confiance) : tout le monde en a souffert d’une manière ou d’une autre, tant l’injustice était évidente !

Mon beau-frère souffre de Parkinson couplée de dystonie, laquelle peut se manifester suite à une hypoxie.

Une rupture d’anévrisme en deux temps est rare mais possible…

Timothé a fait une lésion ischémique spontanée à Strasbourg…

Dans la machine judiciaire

Nous avons été placés en garde à vue tous les deux, pendant environ cinq heures. C’était une expérience “violente” pour moi, même si les policiers étaient gentils et mal à l’aise de me faire subir cela.

Timothé nous a été retiré le 25 août 2024 ; il était placé avec des visites d’une heure par semaine sous surveillance. Il nous a été rendu le 11 mars 2025.

Il est resté deux mois et demi en placement à l’hôpital ; puis deux mois et demi dans une famille d’accueil dans les Vosges (45’min/semaine à l’ASE de visite pendant 1 mois, puis TISF de 3h le mois d’après ; vacances à mi-temps chez maman avec droit de visite libre en sa présence). Puis il a été placé 2 mois chez maman (faisant fonction de tiers de confiance) avec visite et sortie libre en sa présence et TISF 3x4h/semaine.

Notre référente ASE était formidable, tout comme la famille d’accueil ; nous avons eu beaucoup de chance.

La procédure pénale a commencé le 25 août 2024 avec notre garde à vue et la confiscation de nos téléphones. Ma mère a été auditionnée, et il y avait une surveillance du respect du placement chez ma mère pendant trois jours devant notre domicile. Puis plus rien jusqu’à juillet 2025 où un classement sans suite a été prononcé. La juge des enfants leur a demandé vers où se dirigeait l’enquête fin février ; les téléphones ont été ouverts à ce moment-là, et le non-lieu semblait évident, elle a donc mis fin à toute procédure concernant nos enfants.

Une expertise médicale a peut-être été demandée ; nous attendons le dossier pénal pour vérifier cela.

Vivre avec la suspicion

Notre couple est ressorti plus fort et soudé que jamais, car notre confiance réciproque est sans faille. Timothé est un enfant résilient, fort, intelligent, joyeux et qui adore sa grande sœur ; il a été choyé par tous ceux qui se sont occupés de lui. Mais il a dû subir de nombreuses séparations (famille, soignants, famille d’accueil, grand-mère) et donc le sentiment d’abandon qui va avec ; son retour à domicile a demandé un temps d’adaptation pour tous.

Danaé a beaucoup souffert de la séparation : crises de larmes, angoisse, culpabilité, troubles du comportement scolaire. La famille reste durement marquée, en parler fait monter les larmes rapidement ; j’ai pris beaucoup de poids et gagné une mèche de cheveux toute blanche.

Les grands-parents restent blessés par le manque de respect et le mépris de la première juge qui n’a même pas répondu à leurs recommandés pour le droit de visite (elle a juste prévenu l’hôpital que personne ne devait approcher le petit !).

Les frais d’avocat s’élèvent à 11 300 euros et j’ai perdu beaucoup de salaire suite à mon arrêt de travail pendant un an.

Aujourd’hui, notre regard sur les institutions a changé en négatif (même si nous comprenons que nous avons eu affaire à des individus qui se sont imposés comme sauveurs du bébé, nous ne pouvons pas éviter de mettre tout le monde dans le même “sac” ; nous-mêmes ayant été accusés d’un crime que nous n’avons pas commis et traités comme des criminels).

Nous avons compris que nos enfants ne nous “appartiennent” jamais vraiment et que des personnes ont un pouvoir sur nos vies, même sur la base de mensonges qui sont relayés sans vérification.

Notre foi est plus vivante que jamais et au centre de nos vies ; nous sommes Témoins de Jéhovah. La tristesse face à cette injustice dont personne ne s’excuse ; la colère d’avoir été maltraités ; des blessures émotionnelles profondes et un impact fort sur ma carrière professionnelle (des enfants en situations compliquées très souvent).

Nous avons une volonté de combat pour établir la vérité sur les erreurs de diagnostic du syndrome du bébé secoué subies par trop de familles ; nous sommes disponibles pour témoigner !

Par soucis d'homogénéisation des témoignages, ce texte a pu être légèrement édité ou traduit par intelligence artificielle. Si vous constatez une erreur ou une incohérence, n'hésitez pas à nous contacter.

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