Karen (bébé âgé de 2 mois, France)

Karen

Introduction

Je suis tombée enceinte de manière assez miraculeuse, car je souffrais d’endométriose depuis plusieurs années. Sept ans plus tôt, on m’avait diagnostiqué des difficultés à concevoir, en me disant que si je ne faisais pas un enfant rapidement, cela risquait de devenir très compliqué. Finalement, cette grossesse est arrivée de façon inattendue, et elle s’est déroulée dans une grande sérénité.

La grossesse et l’accouchement

Mon accouchement a été extrêmement long. Gabrielle se présentait en position occipito-sacrée, c’est-à-dire le visage tourné vers les étoiles. Son menton était relevé, ce qui empêchait son engagement correct dans le bassin. Ce type de présentation, qui ne concerne qu’environ 5 % des accouchements, complique littéralement le travail et en allonge considérablement la durée 47h…

L’utilisation de ventouses a finalement été nécessaire pour l’aider à naître. À la naissance, Gabrielle présentait une bosse sérosanguine déjà repérée in utero, la marque de la ventouse sur la tête, ainsi que des dermabrasions au niveau du cuir chevelu et une hémorragie sous-conjonctivale à l’œil gauche.

La semaine passée à l’hôpital s’est bien déroulée. Au lendemain de l’accouchement, les sages-femmes qui m’avaient accompagnée m’appelaient « la maman warrior ». Personne n’a vraiment évoqué l’utilisation de la ventouse. Nous avons demandé si la bosse sur la tête de Gabrielle allait disparaître, s’il y avait un risque, si cela pouvait être dangereux ou entraîner des complications. On nous a immédiatement rassurés. Les petites blessures de Gabrielle sont rapidement devenues un non-sujet. La semaine s’est déroulée dans la sérénité.

Gabrielle a très bien pris le sein dès le départ. L’allaitement s’est mis en place sans difficulté, et elle a rapidement commencé à faire ses nuits. Elle régurgitait assez souvent, mais rien d’inquiétant selon la sage-femme. J’avais moi-même été un bébé qui régurgitait énormément jusqu’à la diversification, donc cela ne nous alarmant pas. Elle avait aussi une tête un peu plus grosse que la moyenne, mais cela ne nous a jamais inquiétés : elle était éveillée, agréable, et tous les rendez-vous médicaux confirmaient que tout allait bien.

Nous avions toutefois remarqué que Gabrielle avait la peau très fragile et qu’elle marquait facilement. Cela n’a pas semblé inquiété le personnel médical et on nous a simplement signifié que la peau des bébés est fragile.

Nous avions convenu que je resterais auprès d’elle durant ses premières années de vie. Nous envisagions même de déménager à la montagne, un projet qui nous tenait à cœur. Mon compagnon avait décidé de vendre sa société afin de pouvoir pleinement profiter de sa fille et la voir grandir. Nous étions alors pleins de projets, d’élan et d’enthousiasme pour l’avenir.

Le jour où tout a basculé

Un dimanche matin, en fin de matinée, Gabrielle a commencé à avoir des régurgitations beaucoup plus importantes que d’habitude. Cela nous a surpris, sans pour autant nous alarmer, mais nous avons tout de même remarqué qu’elle régurgitait davantage. En fin de journée, après la prise d’un biberon, elle a de nouveau régurgité. Elle paraissait un peu éteinte, très pâle, et plus calme qu’à l’ordinaire. Nous avons passé la nuit ainsi.

Dans la nuit, elle a tété comme d’habitude, mais après la tétée, elle a eu un vomissement plus important que les précédents. Cette fois, j’ai préféré appeler la maternité, qui m’a conseillé de me rendre directement au CHU de Bordeaux. J’y suis allée sans attendre.

À notre arrivée, le périmètre crânien de Gabrielle avait nettement augmenté. Elle présentait également de petits bleus sur les joues, dus à des bisous un peu appuyés, comme lorsqu’on « mange » les joues d’un bébé, et un autre bleu lié à l’utilisation d’un porte-bébé mal adapté. Sa peau était particulièrement fragile, ce que j’avais déjà signalé à la pédiatre et à la sage-femme qui venait à domicile.

L’une des difficultés a été que j’expliquais l’accouchement long et compliqué que j’avais vécu, mais le compte-rendu médical que j’ai pu fournir était d’une sobriété déconcertante : rien de ce qui s’était réellement passé n’y figurait. De ce fait, mon témoignage a semblé en décalage avec le dossier médical, ce qui a contribué à me faire passer pour quelqu’un qui exagérait, mentait ou cherchait à dissimuler quelque chose.

Nous avons aussi découvert par la suite que son médecin pédiatre n’avait jamais pris les périmètres crâniens lors des consultations. Pendant les deux mois et demi qui ont suivi la naissance, la seule mesure enregistrée était celle de la maternité. L’absence de suivi précis à ce niveau a également posé problème dans la compréhension de la situation médicale de Gabrielle.

À l’hôpital, une série d’examens a été réalisée pour Gabrielle. On m’a expliqué qu’il existait une suspicion de syndrome du bébé secoué, et qu’il fallait donc procéder à plusieurs investigations : IRM, fond d’œil, et radiographie complète du corps afin de vérifier l’éventuelle présence de fractures, d’hémorragies rétiniennes ou de lésions cérébrales.

Un bilan de coagulation a été effectué mais le dit bilan était limité car les soignants n’ont pas réussi à trouver des veines et ont évité de s’y attarder davantage ; la sérologie n’a pas été poussée excluant le contrôle de la vitamine K.

Les résultats n’ont révélé aucun élément expliquant les bleus. Il n’y avait ni hémorragies rétiniennes, ni fractures, ni lésions cérébrales : seulement des hématomes sous-duraux.

Pour autant, un signalement a tout de même été effectué. Il est important de préciser que Gabrielle n’a bénéficié d’aucun traitement ni d’aucun suivi médical particulier à l’hôpital, ses vomissements s’étaient résorbés d’eux-mêmes et son périmètre crânien avait diminué. Nous sommes restés une semaine à l’hôpital, sans qu’aucune prise en charge spécifique ne soit mise en place

Quand le diagnostic est tombé

Le signalement est parti. J’ai été interrogée une première fois. À l’issue de cet interrogatoire, mon compagnon a été placé en garde à vue pendant quarante-huit heures. Au bout de vingt-quatre heures, il m’a été demandé de revenir pour une audition, et j’ai alors été à mon tour placée en garde à vue pendant vingt-quatre heures, avant d’être déférée au tribunal de Bordeaux. Nous avons tous deux été mis en examen pour violences volontaires sur mineur de moins de quinze ans avec interdiction de contact avec mon compagnon.

À la suite de cela, Gabrielle a été placée en famille d’accueil. Nous n’avons pas pu voir notre fille pendant trois semaines, et mon compagnon pendant un mois. C’était une épreuve terriblement difficile : ne pas savoir où elle était, avec qui, si elle allait bien, si elle ne manquait de rien, si elle ne vivait pas cette séparation avec peur ou incompréhension.

Face à la lenteur des démarches juridiques et à l’enlisement de la procédure, nous avons décidé de demander une contre-expertise médicale, qui a mis en évidence une pathologie excluant de façon clair un bébé secoué. Ce qui est particulièrement difficile à encaisser, c’est qu’à partir du moment où le diagnostic de « bébé secoué » est posé, plus aucun diagnostic différentiel n’est réellement envisagé pour comprendre ce qui a pu se passer. Et le droit à la santé d’un enfant est alors bafouée. L’affaire étant toujours en cours, je ne m’étendrai pas davantage sur ce point.

Nous avons toutefois eu la chance que l’ASE ait préconisé un retour à domicile sans condition au bout de deux mois de placement. Même si cette recommandation n’a pas été suivie, nous espérons pouvoir retrouver Gabrielle à l’issue des six mois de placement. Dans ce malheur nous avons la chance d’être bien accompagné par l’Ase.

Vivre avec la suspicion

Nous vivons très mal cette séparation avec notre fille ainsi que celle imposée dans notre couple. C’est un véritable calvaire, un sentiment profond d’injustice et d’incompréhension. Pour ma part, je suis en arrêt maladie longue durée, incapable de reprendre une activité professionnelle, et je bénéficie d’un accompagnement psychologique, tout comme mon compagnon. Toute notre énergie est concentrée sur un seul objectif : récupérer notre fille et prouver notre innocence. Cette situation bousille les familles et engendre des dommages collatéraux pour les grands-parents, les amis et tout l’entourage proche. L’épreuve est vertigineuse, tant sur le plan émotionnel que financier, et elle met en lumière des failles importantes du système judiciaire, juridique et médical. Nous avons été confrontés à des incohérences et des situations totalement ubuesques qui pourtant devraient plaider en notre faveur mais qui malheureusement ne suffisent pas à nous innocenter.

On nous a volé notre enfant. Notre famille. On nous a volé toutes ses premières fois, notre droit à la parentalité, mon droit d’allaiter mon bébé. Tout ce que nous avons perdu est perdu. Tous ces souvenirs dont nous n’avons pas fait parti. Même si d’autres viendront, même si nous recréerons des moments heureux, ce manque-là, cette ombre là, laissera a jamais une trace dans notre histoire.

Je tiens à remercier l’association Adikia, grâce à laquelle j’ai compris que nous n’étions pas seuls face à cette épreuve. Un merci particulier à Alexandre qui m’a permis d’avoir un avocat en or et à tous les bénévoles, eux-mêmes victimes, qui apportent chaque jour un soutien précieux. Leur aide a été un véritable souffle dans ce cataclysme.

Par soucis d'homogénéisation des témoignages, ce texte a pu être légèrement édité ou traduit par intelligence artificielle. Si vous constatez une erreur ou une incohérence, n'hésitez pas à nous contacter.

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